<< Ce n'est pas parce qu'on a des ailes qu'on va tous au paradis >> .:.Alexys du dessous.:.

FICHE D' Alexys

Identité

Nom Esther
Prénom Alexys
Âge Soyons précis, 17ans et demi.
Sexe Purement féminin :BB
Orientation sexuelle Hétéro', faisons dans l'originaité :3

Informations

Race Démon, elle aime pas les gens C:
Description précise et claire des capacités


Répartissez 35 points dans ces 5 catégories

Force et puissance 07 points.
Agilité et souplesse 08 points.
Intelligence et ruse 07 points.
Résistance et expérience 06 points.
Rapidité et réflexes 07 points.


Spirituel

Caractère
« J’ai toujours eu cet air autoritaire.

Je ne suis ni une Déesse ni une mal aimée, je ne suis pas une personnalité pure et d’une grande vérité, je n’ai jamais été quelqu’un de bonne foi, jamais été fiable à cent pour cent. On m’a souvent prise pour l’une des meilleures, pour LA meilleure.
J’ai toujours eu comme tout le monde, une vie et une personnalité bien définie.
Un caractère propre et qui me caractérise, une identité qui n’appartient qu’à moi, et enfin un nom et un prénom dont je suis la seule à posséder.
Je vais peut-être me présenter ; tout d’abord mes chers parents m’ont appelé Alexys et mon nom de famille est Esther. Je m’y suis habituée au fil des années, avec mon look un peu garçon manqué et ma coupe de cheveux un peu garçonne, dans les établissements scolaires où j’ai été ont remarqué à quel point je me démarquais du lot auquel j’appartenais.
Ma vie est ainsi, je suis née, j’ai eu des ami(e)s et divers ennemi(e)s, j’ai appris et compris, comme la plupart du reste de la population dont regorge cette planète sur laquelle nous vivons.
De toute manière, la seule chose qui vous fait lire ce maudit paragraphe, c’est mon caractère…

Et bien pour tout vous dire, je suis assez caractérielle, j’aime obtenir ce que je demande, assez capricieuse j’aime le respect, surtout que l’on me respecte.
Je ne me considère pas comme indispensable à la vie sur Terre mais juste assez utile pour avoir une quelconque raison d’errer dans ces recoins.
Sinon je suis particulièrement forte de caractère, j’aime hurler et me faire entendre pour exprimer un peu de mon autorité histoire de ne pas me faire bêtement marcher sur les pieds. J’aime assez en effet que l’on puisse se rendre compte qu’une fille n’est pas que bonne au pieu, elle peut aussi servir à autre chose. J’ai un tempérament de feu et je m’emporte vraiment très vite, je suis rarement dans un calme plein ou encore très zen à cent pour cent.
Je suis aussi très violente, j’emploie des propos injurieux parfois, rarement mais ça m’arrive.
Je n’ai pas peur de me battre et encore moins d’en ressortir en sang, j’aime exprimer ma force, j’aime aussi que l’on ressente en moi une petite peur en soi. Je peux en somme être une personne très gentille et agréable, ou au contraire une personne détestable au caractère flamboyant.
J’hurle, j’hurle sans m’arrêter, je cris et j’agresse pour que l’on comprenne, je n’accepte pas le fait que l’on ne me regarde pas droit dans les yeux quand je parle, c’est un geste irrespectueux je trouve.
Crier, crier et encore crier, exprimer ma volonté de vaincre, ma rage d’y arriver.
Je suis courageuse, j’affronte tous les dangers et ne recule devant aucun obstacle, pas même celui de me retrouver accidentellement dans une horde de zombis assoiffés de sang humain.
Je suis peut-être une dure à cuir, mais je sais tout de même me montrer attentionnée envers les personnes qui montrent un minimum de compassion envers moi.
Vous comprenez, je me sens assez seule, j’ai toujours été seule, comme abandonnée, je suis si faible et innocente, si…si bonne comédienne.
Je parviens également à mettre tout le monde à mes pieds, mais je le redis, je ne suis pas la meilleure, je ne suis pas une de ces sales garces qui pètent et chient plus haut que leur cul ne le permette.
Je vais de l’avant, je pardonne bien sur, mais je n’oublie rien. Vous pourrez me faire toutes les crasses possible sur cette maudite planète je vous pardonnerai, mais jamais vous entendez jamais je n’oublierai ce que vous m’aurez fait subir. Je vous le rappellerai régulièrement si vous me faites trop chier.

Cependant je sais changer et stopper mes cris et mes hurlements agaçants pour laisser place à une gentille fille aimable et sympathique.
Ce phénomène ne se produit que très rarement, il se peut que je devienne subitement une personne agréable, mais attention c’est rare alors ne vous étonnez pas si je change rapidement pour redevenir un monstre de foire.
J’aime faire peur et montrer que je peux me montrer supérieure, je trouve ça si stupide de dire que le monde il est parfait et tout gentil. Putain y’en a pleins qui crève tous les jours, c’est vrai le monde il est gentil dit donc !
Youpi.
Hinhin, je sais aussi user de mon charme pour toi, oui toi, oh toi adorable avec ton joli minois, oh toi qui va bientôt me tomber dans les bras, oh toi oui toi. Toi qui me divertiras, toi qui me plaira ; tssk.
Les mecs c’est nuls, non mais c’est vrai, ça a des poils partout, ça put, ça sert à rien ; c’est nul moi j’dis.
Oh et puis, les filles c’est nul aussi, elles chialent car elles se brisent un ongle vernis de rose de pouffiasse, oh quelle tristesse.
Tsssk. Quel ennui ce monde, quel ennui moi j’vous l’dis.
Je ris aussi, je me moque, je vous regard d’un œil hautain et assez mesquin, je me fou de votre sale gueule, je vous jalouse parfois, je vous regarde sans vous quitter des yeux, je vous scrute de font en comble, vous êtes comme une proie que son prédateur chasse, vous n’êtes qu’une simple victime qui retombera dans mes précieux filets.
Vous êtes comme des jouets, comme des minables playmobils, comme des barbies que l’on exécute une fois déshabillée. J’aime me taper des fous rires à critiquer autrui, ou dévisager les autres. Je suis possessive, j’adore t’avoir à mes côtés, te garder toujours auprès de moi, ne jamais te délaisser, jamais me séparer de toi, de ton odeur, de ta précieuse présence si jouissante ; me séparer de ton amitié, de ton amour, de ta bonté, me ferais friser, jamais je ne te laisserais tomber, tu es à moi et tu le resteras, je te garderais dans mon lit attaché aux pieds s’il le faudrait, mais jamais tu n’iras ailleurs sans moi, je resterais collé à toi tel la mouche sur une merde bien fraîche. Tu es mon essentiel, ma source de jouvence, le chevalet de mon violon, la selle de mon cheval, la langue de ma bouche, les ongles de mes mains. Tu es tout et toi tu n’es rien.
Un seul faux pas et tu ruineras toute amitié, je ne haïrais pour ce que tu m’auras fait, je te détesterais et te plongerais la tête dans la cuvette des toilettes avec un rire effroyable et sarcastique. Je te regarderais méchamment et cruellement, tu ne seras plus que poussière dans mon majestueux cœur, dans mon trône d’or qu’est mon étonnant cerveau. Je t’écraserais jusqu’à ce que tu succombes, je serais toujours gagnante, je tiens les rennes.


Goûts
« Tout d’abord, aimer n’est pas vraiment dans sa nature, que ce soit le rose ou le noir, pour elle cela reste une couleur, foncée ou clair, c’est exactement la même chose, les teintes sont simplement différentes, rien de plus, rien de moins.
Regarder les oiseaux voler, observer les nuages en plein jour, en une belle journée ensoleillée, ça beaucoup de gens apprécient, sauf qu’Alexys elle trouve ça niet et totalement inutile.
En fait, elle n’a absolument pas besoin de vous pour vivre, elle peut très bien subvenir à ses besoins, seule, sans l’aide de personne.
Bon, elle n’est pas que négative cette jeune demoiselle, elle adore par exemple rire, enfin, rire des autres. N’ayez pas un gros boutons rougeâtre sur le nez, elle se moquera de votre physique, de votre spot’ sur le museau, elle rira à s’en étouffer.
Elle aime aussi ses blagues pourries, qui font malgré elles rire énormément de personnes ; les gens étant proche d’elle sont aussi dans son cœur, même s’ils occupent généralement peu de place, ils arrivent à en avoir une.
M’enfin, bref, maintenant intéressons nous à ses goûts vestimentaires ; c’est assez simple, elle aime tout ce qui n’est pas fait pour les pétasses qui se la pètent. Les fringues pour elle c’est comme la personnalité, ça fait quelqu’un, alors, elle prend exemple sur sa personnalité forte et donc entraine une garde de robe assez gore et violente. J’me comprends.
Niveau bouffe, c’est aussi simple, bizarrement elle déteste la viande crue et la blanche, elle ne s’intéresse qu’au bon jambon de Bayonne ou au malheureux poulet ou encore la bonne viande rouge qu’on trouve bien fraîche chez le boucher d’à côté.
A présent changeons de cape, elle n’a presque pas d’ami, le peu qu’elle l’a, elle les garde, et uniquement pour elle-même. Etant jalouse et extrêmement possessive, si elle parvient à lier une amitié en qui elle à confiance et à qui elle tient, alors là elle ne vous lâchera plus et ne vous fera aucun coup de pute.
Il y a aussi une chose quelle déteste et quelle trouve inutile, ce sont les mioches, ah quelle horreur, ces petites créatures qui gambadent et qui réclament des kinder surprises à leur maman pour quatre heure, ah quelle horrible création.
Elle se fait un malheureux plaisir à décapiter, car il lui arrive de devenir nourrice histoire d’avoir du fric, ses victimes en bas âge.
Elle aime les nourrissons, mais ne supporte absolument pas ceux d’à partir de 6ans jusqu’à 10ans.
Enfin, elle n’est pas assez responsable pour avoir un môme de toute façon, donc méfiance jeunes mères déprimées et trop débordées, ne faites aucunes annonces ou vous retrouverez votre progéniture dans les bras d’une tueuse.
Bref, que rajouter de plus à tout ça…Humm…Elle préfère la fraîcheur de l’hiver au bienveillant été, la chaleur ne l’intéresse pas plus que ça, elle admet avoir un teint très pâle, et ça lui convient à merveille.
Elle adore se reposer au bord d'un lac, dans une nuit étoilée, avoir des animaux à ses côtés et siropter un bon verre fraît.
De toute manière, elle est comme elle est, et point barre. »


Biographie

Histoire


C’est un jour pas vraiment comme les autres. Ils se rencontrent. Ils se regardent.
C’est dans un bar, un cybercafé. Il la regarde sans trop savoir pourquoi, elle l’attire surement dans ses filets. Elle est d’un blond satiné, aux multiples reflets roux. Il est d’une noirceur indéfinissable, sa peau est plus pâle que la porcelaine, ses lèvres comme le sang qui coule dans ses veines, des yeux d’un bleu extrêmement pâle, presque blanc.
Sa blondeur fait d’elle une femme convoitée, maintenant mariée, elle aime son mari, mais pourtant elle se balade dans ce cybercafé, peut-être pour boire un coup.
Elle jette un regard suspicieux sur l’inconnu qui depuis environ une bonne trentaine de minute ne se gène pas pour la dévisager.
Elle lui plait, mon gars elle est mariée.
Peu de temps après, elle vint à sa rencontre, deux tables à côté. Elle s’approche de lui et lui demande presque énervée, pourquoi il la regarde ainsi, c’en était presque flippant.
Il lui avoue qu’il s’intéresse beaucoup à elle, et depuis qu’il vient dans ce cybercafé, et qu’il la voit il y reste toute la journée, autant quelle y est, à l’heure actuelle c’est une employée du cybercafé. Au fur et à mesure, ils apprennent à se connaître, comment dire à son mari que la demoiselle le trompe avec un autre… ?


S’en est trop ! De jour en jour, elle tombe de plus en plus amoureuse de cet inconnu dont elle ne connait même pas le nom, ils se sont déjà donné plusieurs rendez-vous, et elle est tombée sous le charme de cet homme. Elle est bien décidée, c’est avec lui qu’elle veut faire sa vie et pas avec son triste poivrot de mari qui évidemment ne se doute de strictement rien.
Quelques jours passent, elle se lasse de son mari qui lui reproche sans arrêt ses heures supplémentaires. Il ne comprend pas, et un jour il lève la main sur elle et lui demande brutalement si elle voit quelqu’un. Elle est à terre, elle le regarde des yeux pleins de tristesse et de mélancolie, elle lui répond que très franchement, oui.
Hargneux, il prend un fusil de chasse qu’il avait accroché comme décoration dans le salon, il pointe l’arme sur sa femme et la menace de la tuer si elle n’arrête pas de voir cet homme.
Elle jure de ne plus jamais revoir l’inconnu du cybercafé, mais à chaque fois quelle va à son travail, c’est-à-dire sept jours sur sept, elle le voit. Pendant un moment elle ne lui adresse plus la parole, il ne comprend pas et lui demande.
Ils s’embrassent et bien sur le malheureux cocu pointe son nez au boulot de son épouse et les voit ensemble, furieux il lui hurle à l’oreille et commence à briser des verres.
Le patron du bar intervient, l’homme marié se retrouve pour agression au poste de police.
La jeune dame arrive chez la préfecture et demande vulgairement le divorce.
Elle signe les papiers à toute vitesse, et tend méchamment le prospectus à son époux pour qu’à son tour il salisse d’une encre noire la feuille de demande de divorce avec sa signature.
L’homme signe le papier contre sa volonté, mais reste tout de même en garde à vue jusqu’à nouvel ordre.


Heureuse et heureux, les deux futurs parents se retrouvent l’un et l’autre.
Ils se marient et entame une vie commune ensemble, ils vivent en toute harmonie.
Désirant, pour la première fois de sa misérable vie, elle demande à son nouveau mari, l’homme charmant au visage de marbre, s’il désirait une quelconque progéniture. Il lui répondit bravement que ça ne lui déplairait pas. L’homme ne lui disait jamais le mot qu’elles attendent toutes, le JE T’AIME.
Pourtant, elle lui demandait sans cesse s’il avait des sentiments pour elle et il lui répondait que oui, il en avait, mais que pour l’enfant il faudrait attendre. Ne l’entendant pas de cette oreille et le supplia.
Après de longues demandes il accepta, sans être vraiment très convaincu.
Ils continuèrent leur train-train quotidien jusqu’au moment de…


Ils se retrouvèrent dans leur grand lit, là où chaque soir ils s’endormaient l’un et l’autre dans les bras de leur aimé. Elle se colla contre lui et commencèrent ce qu’il fallait impérativement faire pour avoir un gosse, un rapport sexuel.
Ils n’en avaient jamais eu l’un et l’autre auparavant, ils dormaient ensemble, vivaient ensemble et s’aimaient mais n’avaient jamais eu l’envie d’avoir ce genre de rapport ensemble.
Jusqu’à la soudaine demande de sa femme.
Ils débutèrent la cérémonie, et continuèrent en parfaite santé.
Nue, elle se leva du lit et alla en direction de la salle de bain, elle se lava le visage.
Elle retourna dans le lit et ils terminèrent, fatigués.
Un combat acharné se commença, des milliards de petites naines blanchâtres entamèrent une longue route interminable que l’on ne fait qu’une seule fois dans sa vie.
Ils sont à la moitié du chemin, les petites tâches blanches luttent pour parvenir à leur fin, trouver et atteindre l’Ovule.
Les spermatozoïdes nageaient à toute vitesse, et enfin, ils n’étaient plus qu’une malheureuse centaine encore dans la liste des participants.
La victoire se rapprochait vraiment vite, ça allait enfin se terminer.
Ils ne sont plus que dix, les autres ayant étés vaincus par la fatigue et l’épuisement ils avaient abandonné.
Les dix derniers se battaient, crevés par leur effort.
Au final, elle passa le chemin de la vie. Alexys, petite créature infiniment petite gagna la course qui fut très dure.
Les jours défilèrent et les mois aussi. Le fœtus grossissait. Le ventre de sa mère également.
Heureuse d’être enceinte, elle se demandait si son mari partageait la même opinion des choses.


Après plusieurs semaines de dur labeur, la récompense des parents, même du père, était là.
Les neuf mois passés furent surement les plus compliqués pour la future mère qui allait voir sa vie se chambouler en un rien de temps.
Les parents arrivèrent à l’hôpital, ils regagnèrent une chambre d’accouchement.
Après de longues heures, assise voire même couchée sur une table allongée, la dame poussa et elle devint mère.
Après le lavage et tous les soins nécessaires, l’enfant fut dirigé à sa mère qui la prit dans ses bras. C’était une fille.
Tous contents, les deux nouveaux parents rentrèrent chez eux après avoir passé une semaine à l’hôpital à suivre les recommandations du médecin.


Elle détruit le couple qui s’aimait tant, elle hurle sans arrêt, elle grandit, elle fait drôlement chier la gamine.
Ne s’occupant presque plus de son mari, il décide de partir et de quitter la maison familiale, attristée la mère ne savait plus quoi faire pour y arriver, son salaire mensuel du cybercafé ne lui suffisait pas pour acheter tout ce qu’il fallait pour subvenir aux besoins de bébé qui devient grand.
Elle ne s’en sort plus, elle abandonne, elle ne tient plus, elle lâche tout.
La femme amène son nourrisson âgé de maintenant un an à l’orphelinat le plus proche, elle préfère délaisser son enfant qu’être délaissée par son amour.
Elle regagne la maison et demande à son mari de rester avec elle, il resta avec elle.


Une jeune fille qui vient de vivre un an chez ses parents, qui vient de vivre sept ans à l’orphelinat à vivre auprès de Dieu, à être adulé par ses amies et les dames de maison.
Trouvant la vie ennuyeuse, à ses huit ans elle décide de faire une fugue et de fuir, malheureusement les nones retrouvent la petite et la ramène au bercail.
Privée de toute liberté, la gamine ne supporte plus rien, elle devient agressive.
Les femmes ne comprenant pas décident d’aller emmener la fille chez un psychologue, qui bizarrement termine assassiné. On se demande bien par qui.
Alexys parvient, à onze ans à fuir l’orphelinat essayant de retrouver sa mère, celle qui l’avait lâchement abandonnée dans cet endroit si ennuyant à mourir.
Elle n’y arrive pas, ça va faire plus d’un an quelle cherche sa mère, elle ne sait plus où chercher, elle baisse les bras.
Se baladant à douze ans dans des ruelles peu fréquentables, elle se fait malmener par un vieux monsieur qui la recueil gentiment. Il l’inscrit à une école, qui avant ça était une école religieuse, celle de l’orphelinat quelle détestait tant.
Il l’inscrit donc dans l’établissement scolaire de l’orphelinat et les nones la reconnaissent, elles reprennent la garde de la jeune fille qui ne sait plus donner de la tête.
A quinze ans elle désire voir l’extérieur et peut-être rencontré un jeune garçon qui pourrait la rendre heureuse, mais les vieilles nones ne l’entendent pas du tout de cette oreille et consigne la jeune fille. A seize ans elle fuit pour de bon la ville et part très loin.

« FALLEN ANGEL »

Alexys arriva dans un triste endroit morbide et peu visité, elle s’y sent à son aise et décide seule d’y habitée.
N’étant plus vraiment recherchée par les nones, elle s’amuse comme une folle et rencontre de villes en villes des personnes et commence à devenir sociable et apprend à connaître les gens.
En un an elle apprend ce que nous apprenons en vingt ans.
Chaque jour elle découvre de nouveaux lieux, tout en regagnant son nouvel habitacle, Fallen Angel.
Elle y est heureuse, et passe plusieurs mois à gambader, elle ne sait rien.

« REVELATION »

Alexys Esther apprend par une mystérieuse lettre anonyme, uniquement signée « Ton père » quelle n’est pas humaine, d’abord elle n’y croit pas une seconde, juste au moment où elle commence à contrôler les rêves, elle n’y comprend rien.
Elle commence à écrire à son père, par le biais de la poste. Au fur et à mesure ils s’écrivent, c’est vrai qu’il y a de nouvelles technologies depuis la création du monde, mais l’usage de papier à lettre est assez bien, ça garde le suspense.
Chaque jour elle reçoit une lettre et en apprend de plus en plus sur ce qu’elle est, elle commence à apprendre son abominable histoire, et débute une nouvelle vie.
Alexys Esther, jeune fille dont la mère est humaine et le père un valeureux démon sortit tout droit des enfers.


Lien(s) (avec un autre personnage) Facultatif

Irl

Pseudo Danette
Âge 13 années de pur caprice \o\
Code du règlement Okay okay par Saori-chan
Présence sur 7 Humm...6 voire 7, ça dépend des devoirs.
Avis du forum sur 5 A j'aime beaucoup :3
Humm...5 ?

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